lundi 22 février 2010

L'IPHONE POUR LES TUNISIENS...TRES PROCHAINEMENT.

                    


  

  Vous pouvez désormais distribuer vos applications à plus de clients avec l'ajout d'un soutien App Store en Arménie, le Botswana, la Bulgarie, la Jordanie, le Kenya, la Macédoine, Madagascar, Mali, Maurice, Niger, Sénégal, Tunisie et Ouganda. Connectez-vous à iTunes Connecter pour afficher et mettre à jour les pays où vos applications sont disponibles.

Ce n’est qu'une question de temps. L’iPhone, le téléphone d’Apple sera bientôt en Tunisie. Et ce n’est pas Orange Tunisie qui l’annonce mais plutôt Apple qui  a annoncé l’ouverture des App Store (boutique en ligne pour l’achat des logiciels estampillés iPhone).


Par le biais de cette annonce, developpeurs à vos marques...

lundi 8 février 2010

Le marketing participatif

Le Web Social fait bouger les frontières du marketing.
  • Dans les années 80, les entreprises basaient leur marketing sur le produit : le but était comment vendre mon produit à des personnes qui pourraient devenir mes clients. C'étaient le mass-marketing.
  • Dans les années 90, nous sommes passés à l'ère du marketing centré sur le client : Le but est comment vendre le bon produit au bon client au bon moment. C'est le marketing one-to-one.
  • Depuis l'avènement du Web 2.0, nous sommes passés au client intégré dans le développement et la vie de son produit. Le but est de faire participer le client pour ensuite qu'il soit plus enclin à acheter le produit, à le recommander à ses amis voire à leur vendre. C'est le marketing participatif.
Aujourd'hui le marketing participatif que le client est intégré dans toutes les phases du produit : conception, communication, vente, feedback.
  • Conception : que ce soit pour des packaging (Pepsi) ou pour la personnalisation du produit, plus le client est intégré tôt dans la phase de conception, plus il aura le sentiment d'être important pour la marque. La personnalisation du produit permet à l'utilisateur d'avoir la sensation d'être unique pour la marque car son produit est unique. En terme de personnalisation produit, je vous invite notamment à découvrir la boutique Converse Red qui est particulièrement bien réalisée.
  • Communication : les plateformes comme BlogBang, le buzz marketing témoignent du fait que les marques ont désormais besoin de leurs clients les plus influenceurs pour promouvoir leurs produits. La communication institutionnelle ou commerciale ne suffit plus à l'heure où les consommateurs sont inondés de messages publicitaires. Impliquer le client dans sa communication permet également à la marque de renforcer son affect positif : on a l'impression d'une marque cool, en phase avec son temps et à l'écoute de ses clients.
  • Vente : que ce soit sous le modèle de l'affiliation comme le propose les boutiques Zlio par exemple où que ce soit sous la forme totalement intégrée (MeCommerce) comme ce que sera sans aucun doute l'avenir du e-commerce, le client n'est plus seulement celui qui achète, c'est également celui qui promeut et qui vend. Une véritable révolution !
  • Feedback : le CRM ne peut pas passer à côté de l'ère du web participatif. Des marques comme Dell ont su détecter cette tendance avant d'autre en lançant il y a déjà plus de un an la plateforme Dell IdeaStorm qui permettait de aux clients de partager leurs idées par rapport aux produits Dell. Une véritable mine d'informations lorsque l'on recherche à améliorer son produit. En France, FeedBack 2.0 permet désormais aux marques de renouer le dialogue avec leurs consommateurs en les faisant passer dans un modèle ou l'engagement prime avant la communication. Le but est de créér une relation durable avec ses clients en les intégrant dans le processus continuel d'échange et d'amélioration / innovation produit que les marques souhaitent mettre en place.

crowdsourcing & marketing participatif, Heineken et Jean Paul Gaultier tentent le jeu

Le marketing participatif a pour vocation de ne jouer que sur les aspects liés à la promotion du produit. Cela peut englober le packaging, les supports de promotion (publicité, ...). Pour citer quelques exemples d'opérations menées :

*Danette qui depuis quelques années demandent aux internautes de choisir entre plusieurs nouveaux goûts au choix. L'opération est relayée par une forte campagne de promotion dont publicité TV et est visible sur le site de la La Nouvelle Danette.


*Pepsi fut certainement l'une des premières à se lancer dans des opérations de marketing participatif autour de la création d'une canette, commercialisée en édition limitée. Elle continue toujours à le faire sur le site Design your Pepsi Can. Un bon moyen de valoriser l'attachement des consommateurs au produit et à la marque, en starifiant le produit. D'autres marques se sont engouffrées dans ce type d'opération comme Dark Dog (boisson énergisante) comme je vous l'avais présenté en 2007 dans Consumer Generated Product.

*D'autres marques dans le domaine de la boisson vous permettent de commander votre propre boisson avec la canette / bouteille personnalisée. C'est le cas de Heineken au Pays Bas ou encore de Jones Soda






De même que pour le domaine de la mode chez Jean Paul Gaultier, et comme le montre l'image qui suit, vous aurez un large choix de personnaliser votre flacon en inscrivant vitre nom ou celui dont vous vouliez lui en faire cadeau, certes pour les fans de cette griffe comme moi, le fait de trouver son nom graver sur le flacon ne passera pas inaperçu, ça m'attachera plus à la marque et à ses produits...et pour Gaultier...Mission accompli. 



comme le montre l'image le flacon avec mon nom à moi (Hichem) inscrit dessus.

jeudi 4 février 2010

Le scandal apple: Arnaque aux faux avis sur l’App. Store: un développeur (et ses 1000 appli) expulsé



(après celui d’août dernier) de faux avis de consommateurs sur l’App. Store US.
Il implique donc le fameux App Store d’Apple et un des développeurs d’applications iPhone les plus importants, Molinker Inc, (société chinoise) qui avait à peu près 1000 applications en circulation sur l’App. Store.
Cette dernière avait publié plusieurs centaines de critiques positives, de 5 étoiles à chaque fois, et dans un anglais approximatif, uniquement sur ses propres applications…



Phil Schiller, contacté par le biais d’une lettre ouverte envoyée par un internaute sur ce blog, a reconnu la tricherie et pris la mesure lettre ouverte envoyée par un internaute sur ce blog, a reconnu la tricherie et pris la mesure de l’événement, en supprimant les 1000 applications de Molinker de l’App. Store US.
Ce nouveau cas de publication de fausses critiques souligne bien à quel point les avis de consommateurs sont considérés comme un moyen de com’ à part entière par les entreprises. C’est même le moyen
le plus efficace à en croire cette étude de Nielsen. Cependant il faut noter que dans ce cas le procédé est grossier : commentaires dans un anglais approximatif, notations 5 étoiles à chaque fois, qui plus est, d’applications développées par Molinker Inc. uniquement…
Imaginez que ce développeur ait été un peu plus malin, et qu’il ait écrit dans un anglais correct, en nuançant ses propos, et en publiant parfois des avis 3 étoiles…  Nous n’y aurions vu que du feu !!
Mais qu’en est-il d’Apple ? N’y a-t-il pas un certain laissez faire de leur part ?!
Même si on ne peut l’affirmer sans preuve tangible, cela semble parfaitement plausible, et ce à mon avis pour plusieurs raisons.
Comme tout marchand en ligne, Apple profite de ce système, car une application (ou un produit) sur laquelle il y a des avis de consommateurs est une application qui va se vendre beaucoup mieux, or Apple gagne 30% sur chaque application vendue…
Ce qu’Apple pourrait faire pour améliorer son système d’avis
  1. Mettre en place un historique des avis publiés par chaque utilisateur, et des petites statistiques pour chaque utilisateur (nombre d’applications notées, catégories des appli notées, et même noms des développeurs des appli notées)
  2. Mettre un place un système de notation des avis publiés (utiles/pas utiles) qui confèrent ensuite une note à un utilisateur donné qui s’affiche à côté de chacun de ses avis
Comment un enfant de 12 ans peut déjouer ce système:
Noter plusieurs applications différentes, en tentant d’être objectif, puis noter son application de manière positive tout en nuançant un minimum ses propos, et le tour est joué.
Augmenter le coût moyen de production et la pénalité en cas de flagrant délit
Même si un tel système ne viendrait pas résoudre le problème, il rendrait au moins le process de publication de faux avis plus lourd pour les fraudeurs.  Tout ce qui peut contribuer à rendre le coût moyen de publication des faux avis plus élevé est à mon sens bon à prendre.
Quoi qu’il en soit, la décision d’Apple de bannir Molinker de l’App. Store US est de bon augure pour les consommateurs.  Le risque de se faire prendre en flagrant délit et la sanction associée sont maintenant bien réels pour les développeurs. Voilà qui pourrait en décourager plus d’un qui seraient tentés de publier de fausses critiques sur l’App. store… ou en tout cas de le faire de manière trop évidente!

 source: wizmeblog

Des entreprises défaillantes face au comportement des consommateurs en ligne

L’étude menée par Eptica, en partenariat avec Nexstage et l’AFRC porte sur 100 sites web et a pour objectif de rechercher les failles des entreprises dans leur approche de la relation client sur Internet.

Près d’un site sur cinq (23 %) ne donne pas la possibilité aux clients de poser directement leurs questions par emails. Et quand ils le permettent, seuls 74 % parviennent à répondre à plus de 4 questions sur 10 posées. Les autres outils d’aide en ligne pour les clients sont également peu développés. Seuls 59% des sites possèdent des moteurs de recherche par mots clés, 13% disposent d’un web self-service et uniquement 8% d’un agent virtuel.

Enfin, aucun des sites étudiés n’utilisent le chat. Or sur un marché très concurrentiel, les entreprises doivent trouver un équilibre entre la qualité du service client et les tarifs pratiqués. Pourtant, faute de pouvoir trouver leurs réponses sur le web, les clients se tournent vers les centres d’appels, ce qui entraîne des surcoûts pour les entreprises. Conséquence plus dramatique encore, les clients insatisfaits pourraient se tourner vers d’autres enseignes.

Le service client fait également défaut en termes de délais de réponse. En effet, seulement 17 % des sociétés ont apporté une réponse dans un délai de 24 heures et 15 % ont mis plus de deux jours à répondre. Les secteurs de la banque et de l’électronique se montrent les plus lents à réagir. En moyenne, les délais excèdent les 48 heures. A contrario, le secteur des transports est le plus rapide avec 75% des emails de réponse reçus dans les 24 heures.

Au total, la moitié des entreprises (49 %) n’ont pas répondu aux mails adressés et seulement un tiers des réponses obtenues étaient pertinentes. Or, les entreprises doivent veiller à soigner les différents canaux utilisés par leurs consommateurs. Une mauvaise expérience vécue aurait des répercussions négatives sur leur activité. Ainsi, les ventes perdues en ligne ne se reportent pas sur les ventes en boutique et par conséquent, nuisent au chiffre d’affaires.

La quasi absence de chat, d’agent virtuel ou encore de web self service sur les sites, dégrade la relation des entreprises avec leurs clients sur le canal internet. Celles-ci n’ont apparemment pas encore intégré l’impact de la mutation d’Internet dans leur relation client et devraient à ce titre, multiplier leurs efforts pour ne pas décevoir leurs clients.


Méthodologie :

L’étude a été menée auprès de 100 entreprises commerciales françaises tous secteurs confondus (assurances, banque, voyages, service public, transports, vente et fabrication de matériel électronique, commerce électronique, mode et télécommunications) au cours du troisième trimestre 2009. L’étude évaluait la capacité des entreprises à apporter des réponses simples aux questions récurrentes posées sur le site et à répondre aux mails des clients.


source: EPTICA

mercredi 3 février 2010

Can AT

Before Wednesday, if the rumors were to be believed, Apple was not only on the brink of jettisoning its exclusive U.S. arrangement with AT&T for the iPhone, but that it would also roll out its tablet device with support from multiple carriers. That, of course, didn't happen. AT&T is still the exclusive carrier for the iPhone, and no indication was given that the situation would change soon.

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Zara ouvre le bal de la vente en ligne

Zara ouvre le bal de la vente en ligne

Réseaux sociaux, priorité marketing pour 2010

Alors que les experts prédisent un accroissement de l’investissement publicitaire dans les médias sociaux depuis 2009, nous pouvons désormais avancer que la conquête des médias sociaux et des réseaux sociaux est LA priorité absolue des responsables marketing pour 2010.


Emarketer a en effet réalisé une étude sur l’investissement prévisionnel des e-commerçants en 2010 et les grands vainqueurs sont les réseaux sociaux :

* 45,4% des décideurs marketing placent les réseaux sociaux comme prioritaire
* 42,2% les jugent importants dans leur stratégie marketing

L’étude d’e-marketer sur les réseaux sociaux met donc en lumière la place prépondérante que commencent à prendre ces plateformes sociales. Pourquoi ? Parce que les e-commerçants font de plus en plus attention à la qualité des visites de leur site :


Le temps passé sur le site ou les pages vues sont les ratios qui intéressent le plus les responsables marketing en 2009. Via les médias sociaux, ces décideurs espèrent capter l’attention de leurs internautes et les engager dans un véritable échange avec eux.

Steve Wages, directeur de Society of Digital Agencies (SoDA) :

Les agences interactives doivent éviter la complaisance à tout prix et continuer de concentrer leurs efforts vers l’innovation afin d’engager les consommateurs dans un dialogue pertinent et multicanal

Le web social est plus que jamais annoncé comme un levier d’affaires pour 2010 ..
Engagez-vous qu’il disait, engagez-vous ;-)

Source : e-marketer

dimanche 31 janvier 2010

Les marques s'interessent au shopping social

Les années 80-90 sont particulièrement individualistes comme le montre l’image du consommateur égoïste replié sur son cocon…

Cette époque s’oppose à celle précédant mai 1968 qui voyait chacun rattaché à une classe sociale figée qui lui imposait ses normes ! L’ère actuelle est une synthèse entre ces deux visions. Si le libre arbitre de l’individu moderne reste la valeur suprême, l’on assiste néanmoins à un retour des communautés…virtuelles.

La communauté désigne ce qui est commun, donc ce qui est partagé par un certain nombre d’individus. L’on parle ainsi de communautés de goût, d’idées, de points de vue. Ce concept prend son origine à partir d’un centre d’intérêt partagé et d’une volonté de coproduire, d’échanger ou de faire progresser un point mutuel de rapprochement et d’intérêt.

Une étude sur les « Tendances de consommation et de recherche d’informations à horizon 2015 » montre que d’ici dix ans le consommateur sera toujours en lien, comme aujourd’hui, avec des communautés. Cette tendance à s’agréger à des réseaux choisis, dont on est un acteur plus ou moins influent est donc toujours d’actualité. Grâce à ce lien, le consommateur tire des renseignements lors d’un achat ou donne son avis si un membre du réseau le lui demande. Au sein des communautés, il faut noter que certains individus ont un impact plus important sur le groupe… Ce sont les leaders d’opinion ! Leurs comportements ont de grandes chances d’être imités par les autres. Il peut être intéressant d’identifier ces blogueurs influents pour leur faire tester un produit, par exemple.

L’entreprise n’apporte plus seulement une solution aux besoins de ses consommateurs mais véhicule les valeurs de sa marque à travers le partage d’expérience. Si la marque perd de l’emprise sur son produit qui va être personnalisé par la communauté, elle crée cependant un lien fort avec celle-ci. Face à cette nouvelle donne, pourquoi ne pas soutenir le lien entre ses clients en les aidant à partager leur passion ?